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Archétype et Biodanza : une possibilité alchimique par Katia Alves

Introduction

La thérapie analytique de Jung et le Système Biodanza de Rolando Toro ont de nombreux points en commun. Jung a cité dans un de ses écrits qu’il espérait que d’autres théoriciens continueraient son travail (Jung, l’homme créatif, Luis Paulo Grinberg) en l’amenant au domaine du corporel. Rolando Toro est un de ceux qui a donné une continuité à cette proposition jungienne, en alliant le langage corporel aux découvertes sur l’inconscient collectif et l’archétype. Agissant en pratique sur la théorie, Toro a favorisé un espace pour l’interaction entre la Biodanza et la Psychologie Analytique : cette rencontre favorise une alchimie dans laquelle les éléments théoriques se transforment, en stimulant des réflexions et des questionnements sur la pratique thérapeutique.

Jung et ses successeurs ont travaillé à un niveau personnel et isolément, ayant comme objectif le développement du self (soi-même). Rolando Toro a défendu l’idée qu’il n’y a pas de développement possible sans une interaction avec l’autre (l’alter). De là, son travail s’est fait à un niveau collectif, en ajoutant des personnes, en cherchant l’être intégral.

En partant de l’existence présupposée des « archétypes de l’inconscient collectif », qui ne peuvent être reconnus que quand ils se manifestent par des complexes, des rêves et des délires ou symboles, nous vérifierons que l’utilisation de la musique et du mouvement, dans le Système Biodanza, peut déclencher des manifestations archétypiques en promouvant une plus grande intégration de l’individu avec lui-même, avec les autres êtres humains, en le reliant de façon plus efficace à son univers existentiel.


Relation entre la thérapie analytique et la Biodanza

La Biodanza, au long de sa construction, s’est approprié quelques concepts jungiens pour donner une consistance à sa théorie et une base au travail vivenciel. En parlant de la possibilité d’une manifestation archétypique par le mouvement, il devient nécessaire de faire une comparaison entre certains concepts de la thérapie analytique et la Biodanza.

Le concept d’identité est la base des deux théories qui cherchent l’autonomie de l’individu : l’organisation d’un système indépendant, capable de réaliser des actions différenciées en conservant cependant une parfaite intégration dans un système plus grand.

Un des processus les plus évolués des êtres humains est l’apparition de l’identité.

Selon Rolando Toro, l’identité est la vivencia de se sentir créature unique en résonance et en intimité avec tout être vivant. L’identité saine est toujours unie à la perception corporelle unitaire, avec des limites claires, une tendance à l’action assertive dans le monde. Pour Jung, l’identité est le self atteint par le processus d’individuation. Le concept d’individuation jungien ressemble au concept d’évolution de la Biodanza car tous deux proposent que l’être humain naisse déjà avec un potentiel qui pourra être développé tout au long de sa vie. Pour la Thérapie analytique de Jung, le processus d’individuation est conçu comme un chemin qui se parcourt et s’accomplit comme une tendance naturelle de l’homme, celle de devenir indivisible et distinct des autres personnes : un être humain unique, entier. Ce processus suit son cours inconsciemment. Pourtant, l’homme pourra devenir conscient et influencer ce chemin. L’individuation c’est se tourner vers son propre centre, le principe organisateur, le self. Les phénomènes décrits par Jung sont liés à son expérience personnelle, à son travail avec des patients et à ses recherches sur l’alchimie.

Dans le processus d’évolution, en Biodanza, selon Rolando Toro, le terme « évolution » signifie intégration, harmonie, force expressive autonome et créative, lien avec toute forme de vie : c’est une tendance naturelle chez tout être vivant, c’est une transformation et un développement. Le processus évolutif est associé au concept de biocentrisme (Principe biocentrique) : la « vie en tant que centre » est le chemin de toutes formes de vie qui se dirigent vers leur destin, chacune évoluant en consonance avec d’autres manifestations de l’existence. « De la même façon que la totalité de l’être est l’objectif occulte inhérent à chaque semence et désiré ardemment par tous les moyens, l’âme de l’homme est orientée vers son développement, vers son « entièreté » même si elle n’est pas consciente de cela et résiste à sa réalisation.

Le chemin d’individuation est inscrit profondément dans le cours de la vie de l’homme, bien qu’il ne soit initialement qu’une trace. La déviation de ce chemin est lié au risque de perturbations psychiques (Jacobi Yolande, Complexe, archétype et symbole). La thérapeute jungienne Yolande Jacobi a noté la similitude du processus d’individuation avec le développement du potentiel inscrit dans la semence.

En Biodanza, on danse ce processus d’évolution ou d’individuation par la « danse de la semence », dans laquelle l’élève entre en contact avec l’énergie évolutive qui est en mouvement ascendant constant. La musique est l’élément qui donne l’impulsion à la croissance de la terre vers la lumière, vers le haut. Il ne s’agit pas que d’individuation de l’être mais d’évolution de l’organisme immense duquel nous faisons partie.


De l’inconscient collectif à l’inconscient vital

L’inconscient a deux natures, une personnelle et une impersonnelle (collective et vitale). La psychologie analytique élargit le concept d’inconscient personnel créé par Freud, en mettant en son centre un principe ordonnateur, le self, un centre qui émet de l’énergie. Les contenus constitutifs de la personnalité individuelle font partie de l’inconscient.

Les contenus de l’inconscient collectif, selon Jung, représentent la base de la psyché et ont, en général, une régularité, ils représentent une base instinctive et universelle. Ils correspondent à des couches plus profondes de l’inconscient, aux fondements structuraux de la psyché communs à tous les humains. L’inconscient collectif comprend toute la vie psychique de nos ancêtres depuis leur origine.

Rolando Toro a complété le travail commencé par Jung dans le domaine du corps, en créant l’inconscient vital.

« L’inconscient vital, je l’ai inventé à partir de nouvelles études sur la biologie où on a découvert un objectif dans les cellules. Les cellules agissent avec un objectif spécifique (…) certains tissus, certaines cellules, pour ne pas être dévorés par les macrophages utilisent toute une intelligence différente (…) un psychisme biologique qui est parfois plus profond que l’inconscient collectif » (Rolando Toro).

La Biodanza active et permet l’accès à l’inconscient collectif. Les vivencias agissent sur les systèmes corporels et agissent ainsi aussi sur l’inconscient vital, débouchant et vitalisant les canaux par où l’intelligence du psychisme organique flue, activant les transmetteurs, les neurotransmetteurs, les acides et tout ce qui régule la vie corporelle. La proposition de l’inconscient vital, comme le principe biocentrique auquel il est subordonné, rompt avec la dichotomie entre vision organiciste, qui met l’accent sur les processus biologiques, et la vision culturaliste dans laquelle il y a un déterminisme des facteurs relationnels et émotionnels.

L’hypothèse Gaïa (Lovelock) conçoit la planète Terre et tout l’Univers comme un grand être vivant qui naît, croît et meurt. Toro utilise cette conception et l’associe à la compréhension des facteurs biologiques constitutifs de l’inconscient, pour proposer le concept d’inconscient vital qui englobe la mémoire de tout l’univers, dès sa création, et inclut toutes les possibilités et les formes de vies existantes dans toute l’étendue du Cosmos.

Les vivencias, en Biodanza, mobilisent les trois dimensions de l’inconscient : le personnel dans l’intégration corporelle, dans les danses d’intégration motrice, les vivencias spécifiques pour dissoudre les tensions musculaires (cuirasses), l’intégration des trois centres (sentir, penser et agir), la marche, les sauts, etc. ; le collectif dans le contact avec l’archaïque, les images primordiales, les vivencias des Positions Génératrices, les quatre animaux, les quatre éléments, etc. ; le vital dans l’accès à l’intelligence du psychisme biologique de l’Univers et dans les réactions biochimiques de l’organisme, par des vivencias de communication et de rencontre, les caresses et l’érotisme, la régression par la transe, les jeux joyeux, l’humour et le rire, les réaction cénesthésiques de plaisir.

La proposition de Jung est que l’on doit considérer les instincts comme des processus inconscients, hérités, qui ont une régularité universelle et se manifestent comme besoins compulsifs, c’est-à-dire réflexes.

Selon la Biodanza, la culture construite sur des valeurs anti-vie empêche, désorganise et pervertit les instincts, créant la pathologie sociale et individuelle. La tâche des facilitateurs est de restaurer la base instinctive de la vie, en cherchant à orienter ces impulsions primordiales. Les instincts sont un réseau systémique, avec une représentation biochimique et une projection directe sur le comportement et le style de vie.

Concernant l’archétype, son origine étymologique est le radical grec « arche » qui se réfère au commencement, à l’origine et « tipo » qui dérive d’un verbe grec qui signifie « frapper » et du substantif qui se réfère à l’impression ou au modèle. Ainsi, l’archétype veut dire le modèle à partir duquel sont imprimées des copies, le modèle sous-jacent, le point de départ à partir du quel une chose se développe.

Pour Jung, ce qui arrive dans la conscience individuelle est toujours des images archétypiques ou des manifestations concrètes et particulières qui sont sous l’influence de facteurs socioculturels et individuels. La notion d’archétype en soi n’est pas représentable mais a des effets qui nous permettent de les visualiser par la production d’ « images archétypiques » : un monde rempli de stimuli, d’attributs, d’images, de métaphores et de métonymies qui ont des significations semblables pour chacun de nous. Les archétypes sont des principes organisateurs universaux (cosmiques) qui touchent les particularités de l’existence (y compris humaine).

Elles peuvent pourtant se manifester dans notre psyché individuelle, sous forme de contenus mythiques dont nous trouvons l’origine dans les gestes antiques, les coutumes, les émotions et les cultures humaines.

Quand les archétypes se manifestent, les individus contemporains racontent l’histoire psychologique de l’humanité, ses valeurs, ses croyances, ses peurs, sa religion, etc.

Les instincts et les archétypes forment ensemble l’inconscient collectif. Comme tous, nous avons un ensemble d’instincts, également un ensemble d’images primordiales ou archétypes qui peuvent se manifester à n’importe quelle heure au cours de la vie.

Jung lui-même a affirmé qu’il était impossible de prouver l’existence des archétypes. Ils sont seulement prouvés quand ils se manifestent concrètement. Touché par le conscient, l’archétype peut devenir manifeste et recevoir une forme. Dans le domaine biologique, par exemple, l’expression de l’archétype apparaît dans l’élan du mouvement, dans l’expression par l’art, etc. Dans le domaine spirituel, il se manifeste comme image ou idée transcendante ou numineuse. « Chaque fois qu’un archétype apparaît dans un rêve, un fantasme ou dans la vie, il amène avec lui une force qui pousse à l’action (Jung Carl Gustav, Psychologie de l’inconscient).

Cette force qui pousse à l’action est celle qui nous amène à « danser » l’archétype. Rolando Toro fonde les vivencias archétypiques dans l’affirmation que, dès les origines de l’histoire humaine jusqu’à nos jours, l’homme réalise des gestes éternels, des gestes qui sont capables d’induire des vivencias profondes de transcendance et générer des danses harmonisatrices et intégrantes, grâce à la force expressive qui surgit de ces gestes éternels.

Il a choisi certains gestes ou positions manifestés d’innombrables fois dans différentes cultures par l’art et les a appelés Positions Génératrices. Parmi d’autres vivencias, c’est par les Positions Génératrices que ces potentiels humains sont exprimés et ensuite étendus à la danse créative qu’elles génèrent. Ainsi, nous accédons à l’énergie de l’archétype qui, amplifié par la danse, crée une unité entre esprit, psyché et corps. Les Positions Génératrices, par la danse, stimulent les énergies psychiques de l’inconscient collectif et vitales de l’inconscient vital. Elles permettent l’accès aux énergies psychiques et, par le mouvement, à l’énergie vitale qui s’étend dans l’organisme et amène ensuite à une structuration symbolique du psychisme par l’image archétypique. Rolando Toro montre la possibilité de bouger le symbolique, en agissant sur l’énergie vitale, puisque ce n’est qu’avec la vivencia que l’on peut stimuler la potentialité d’un archétype.


Symboles et mythes

La différence entre symbole et archétype est que celui-ci est invisible, car il est un potentiel, une inspiration ; le symbole est la musique, l’art, l’image. L’archétype est universel et immuable, alors que le symbole exprime l’archétype dans l’histoire de chaque culture et non dans « l’ici et maintenant ».

La Biodanza permet de bouger le symbolique en le manifestant par le geste.

L’énergie emmagasinée par l’archétype amène l’individu au-delà du symbole : l’élève entre en contact avec l’énergie de l’archétype, créant une danse qui exprime son inconscient, activant le psychique et le physique, ce qui a pour résultat la rénovation organique, une fonction structurante qui amplifie les potentiels de chaque personne.

Les danses archétypiques, en Biodanza, comme la danse des Quatre Eléments, permettent une transmutation alchimique chez les participants. Jung pensait que l’alchimie, vérifiée à la lumière du symbolique, pouvait être considérée comme précurseur de l’étude moderne de l’inconscient et, en particulier, d’un intérêt analytique dans la transformation de la personnalité.

Un des objectifs des alchimistes des 15ème et 16ème siècles était la libération de l’âme humaine. L’alchimie élucide la façon dont une relation avec une autre personne promeut une croissance interne. L’étrange combinaison d’un lieu dans le monde, d’un temps déterminé, dans une circonstance émotionnelle particulière, ce que nous appelons vivencia, est avant tout le résultat alchimique d’une rencontre d’un être humain avec un autre être humain, avec le monde, avec la nature, avec les objets ou avec l’infini insondable.

D’autres danses archétypiques sont celles des Quatre Animaux qui mobilisent les archétypes psychomoteurs, amenant la personne à percevoir son mouvement corporel et existentiel (son action sur le monde). Ces danses symbolisent les forces de la nature et évoquent des possibilités instinctives-motrices qui ont un effet revitalisant extraordinaire.

Les mythes sont déjà des légendes orales appartenant à la culture d’un peuple, qui expliquent par l’appel au divin et au mystère l’origine de l’univers, le fonctionnement de la nature et l’origine des valeurs de base de ce peuple. Les exemples les plus impressionnants de symboles collectifs sont fournis par les mythologies des peuples. La mythologie, comme portrait vivant de la formation du monde, est la manifestation, le revêtement primaire des archétypes, quand ceux-ci deviennent symboles.

Les vivencias en Biodanza ont une valeur intégrante en elles-mêmes, évoquant des contenus primordiaux qui s’organisent selon le modèle téléologique qui oriente la création de la vie dans l’univers, un principe que Rolando Toro a appelé biocentrique : son action se base sur le système limbique-hypothalamique, centre de la conduite flexible des émotions et des instincts.

En évoquant ou en induisant des vivencias, le facilitateur de Biodanza active la mémoire archétypique humaine, promouvant une intégration profonde et nécessaire entre l’organisme biologique et l’organisation culturelle (symbolique). Dans la recherche possible du self, la Biodanza place l’individu dans le labyrinthe, tenant la main du Minotaure pour avoir l’énergie d’être attiré dans les bras de Dionysos et, avec beaucoup de plaisir, de descendre dans le règne de Hadès, demandant de l’aide à Orphée pour sortir de là, marcher entre terre, eau, air et feu et, ensuite, se planter comme une semence pour renaître, tel le Phoenix, et opter pour la condition d’être vivant abandonnant l’état de survie, dépassant les peurs qui menacent son identité et sa cohabitation harmonieuse dans la société.

Transmuter et changer de façon essentielle, changer l’essence, modifier à partir de l’intérieur. Transformer et changer de forme, en gardant l’essence, modifier de l’extérieur. Quand une transmutation interne arrive, arrive aussi une transformation dans le comportement et dans le style de vie. Le processus de déclenchement des vivencias intégrantes produit une vraie transmutation alchimique. L’élève, quand il danse, sent quelque chose et, dans un mouvement vivenciel, métabolise la condition déclenchée intérieurement par cette émotion dans le mouvement sensible, dans la présence affective d’un autre être humain et dans l’expression créative du sentiment.

Nous transmutons biochimiquement des sensations, des émotions et des vivencias, arrivant souvent à faire un saut évolutif. La Biodanza cherche un changement existentiel à des niveaux chaque fois plus vastes, de connexion à la totalité cosmique. Le modèle biocentrique s’inclut parmi les modèles biologiques de transmutation d’énergie par le contact, la rencontre et la caresse. Pendant la rencontre on crée des champs énergétiques d’intensité et de qualités variables. Dans la rencontre, il y a toujours rétro-alimentation (feedback). Les interactions énergétiques complexes arrivent en Biodanza par des exercices qui permettent la transmutation de la peur en courage, de la souffrance en plénitude de vie, de l’angoisse en harmonie, de la violence en amour, de la fragilité en force, du déséquilibre organique en autorégulation, de la décadence biologique en rénovation organique.


Considérations finales

Jung ramena de ses voyages à l’intérieur de lui les découvertes de l’inconscient collectif, les archétypes et les symboles. Etant un « introverti », il a vécu ses découvertes solitairement, dans les profondeurs de l’inconscient.

Toro a proposé le mouvement corporel des concepts junguiens : le Principe Biocentrique de « danser la vie », la vie comme centre, dans un acte de connexion avec l’Univers, lieu où tout danse. Danser la vie signifiant la transformation d’une culture capitaliste en une culture centrée sur le plaisir de vivre. Toro, étant un « extraverti », il a cherché à étendre les découvertes junguiennes de par le monde : un mouvement expansif ascendant.

Les deux théories pour l’instant se complètent en forme et en contenu : en théorie et en pratique. Rolando Toro a approfondi avec les vivencias de Biodanza le travail commencé par Jung.

Ce texte prétend « ouvrir des portes » par où nous pouvons amener d’autres recherches et d’autres contributions au processus thérapeutique, qui permettent la formation d’un être humain plus plein, en harmonie à l’intérieur et avec l’univers extérieur. Ainsi, parler de certaines idées contenues ici serait incompatible avec la théorie junguienne et avec la Biodanza : nous sommes des êtres inachevés et, grâce à cela, nous sommes inquiets, interrogateurs et nous vivons en recherches constantes. C’est le parcours de notre existence sur cette planète Terre.


Bibliographie

BYTON, C. Desenvolvimento da personalidade CAMPBELL, J. Puissance du mythe. CHEVALIER, J. et al. Dictionnaire des symboles DOWNING, C. Espelhos do Self FERREIRA, J. H. De corpo e alma GRINBERG, L. P. Jung, o homem criativo JACOBI, J. Complexe, archétype, symbole JUNG, C. G. A natureza da psique Psychologie de l’inconscient Souvenirs, rêves et pensées SAMUELS, A. et al. Dicionário crítico de análise junguiana. SILVEIRA, N. Jung, vida e obra TORO, R. Théorie de la Biodanza

O Minotauro WHITMONT, E. C. A busca do símbolo

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